Saviez-vous que la santé mentale fait partie de la loi sur le travail suisse? Ce dernier comprend maintenant le stress. Et on est entouré par des stresseurs. Certes, certaines professions sont plus touchées que d'autres, mais il est largement accepté aujourd'hui que le stress affecte plus que les employés de santé ou les contrôleurs de la circulation aérienne. En effet, le stress est universel et mondial, touchant le Royaume Uni, les Etats Unis, ou même la Suisse. Et les sondages le manifestent aussi: un quart de la main-d'œuvre suisse se dit maintenant si stressé que c'est critique : ils prétendent ne pas avoir assez de ressources pour faire face aux pressions sur leur lieu de travail (SECO, 2016; Travail-Suisse, 2017). La conséquence: qualité de vie réduite pour les employés et, pour l'entreprise elle même de l'absentéisme, de présentéisme', qui entrainent une efficacité réduite et une détérioration de la réputation pour l'entreprise. Il est donc pour juste cause que la plupart des PME offre des services de bien-être à leur personnel ou, à un minimum, met en place un programme de gestion du stress pour les employés.
L'astuce : l'effet universel du stress n'existe pas. Il y a un du bon stress et il y a du mauvais stress; et les gens sont touché de différentes façons par les mêmes facteurs de stress. Par exemple, des révisions hebdomadaires avec son chef peuvent être du 'bon stress' ou du 'mauvais stress'. En effet, ils peuvent aider une personne calme à rester à l'hauteur (bon stress / eustress ), tandis que, pour une individu qui a des légers troubles d'anxiété, ces mêmes réunions peuvent être perçue comme une pression écrasante, ce qui rend cette pression contreproductive (du mauvais stress / détresse).
Cette exemple paraît peut-être un extrême, mais le trouble anxieux affecte plus de 5% de la main-d'œuvre de l'UE / EEE (Wittchen, 2010), et il est hautement prédictif de la façon dont un individu interprète une situation, toute chose égale par ailleurs. Parce que c'est le stress perçu qui compte, et pas seulement le stresseur lui-même, Persometrics sommes convaincus que les programmes de gestion de stress universels sont inefficaces et suggérons plutôt d'aider les individus d'une manière personnélisée.
La maladie de stress la plus connue est probablement le burnout, et elle a des effets dévastateurs sur des dizaines de milliers de personnes en Suisse chaque année. Sur des recherches Googles en 2017, la frequence du mot-clé 'burnout' était (par personne) aussi importante en Suisse qu'en Angleterre. En 2019, des initiatives sont développé pour que le burnout est compté comme une maladie pris en charge par l'assurance de base nationale (le LAMAL) mais jusqu'à cette date, les coûts de cette maladie sont à prendre en charge par les entreprises seules. Et n'oublions pas les coûts pour les individus, dont beaucoup continuent à souffrir des symptômes physiques et psychiques ainsi que des stigmatisations dans les années qui suivent. Il est vrai que certaines professions restent plus touchées que d'autres, en particulier les professions qui traitent directement les personnes mais des facteurs tendent à être en étroite corrélation avec l'épuisement professionnel peu importe l'industrie. Certains de ces facteurs peuvent être signalés en fonction du lieu de travail. Pour d'autres facteurs il faut plutôt se concentrer sur les individus eux-mêmes. Par exemple, il existe un lien bien établi entre l'épuisement professionnel et l'auto-efficacité des traits de personnalité, ce qui peut être dû à la nécessité d'une validation externe de son propre effort.
Ainsi, bien que les employées en général s'attendent à ce que l'organisation reconnaît leur effort, certains ont un besoin plus profond que d'autres pour cette rassurance, et ceci peut être quantifié et analysé. Cela dépend aussi du domaine et de la hiérarchie. Cependant, comme pour le stress, l'épuisement professionnel implique une relation personne-environnement entre l'employé et son travail. En d'autres termes, pour étudier et prévenir l'épuisement/le Burnout, il faut considérer non seulement les employés et les lieux de travail individuellement, mais aussi comment les employés perçoivent le milieu et les contraintes organisationnelles ou les menaces sur leurs ressources personnelles.
Les questionnaires posent plusieurs problèmes. La perte de temps est couteux, et il y a des biais importants que l'on ne peut pas éviter avec cet instrument. Mais encore, le victime d'un burnout est souvent ignorant vis à vis de ses symptomes avant le fait. Et pourtant, même si entend souvent des gens qui ont 'soudain' eu un Burnout, cette maladie (ainsi que le font autres maladies liées au stress) se développe lentement et les symptomes sont là : le problème est qu'ils sont parfois difficiles à reconnaître.
Basé sur notre propre recherche, nous avons développé un kit de test qui combine des données comportentales et physiologiques, plus précisement sur les taux d'hormones. Des données hormonales ne seront pas influencée par les mêmes biais que les questionnaires et permettent de mesurer le stress chronique de façon scientifique. Nous proposons aux entreprises d'acheter des kits pour chaqu'un de ses employés qui, eux, recoivent de support et des conseils personnalisés. Ce contrat reste entre Persometrics et l'employé, pour des raisons de confidentialité. Nous proposons aussi des services d'identifier des causes principales du stress au sein de l'entreprise. Ainsi, vous n'aurez pas seulement donnée un outil à vos employés pour les aider à reconnaitre et combattre le stress, mais vous recevrez aussi de feedback 'actionnable', ce dernier toujours sans compromettre l'anonymat de vos employés. Notre rapport peut vous aider à identifier des domaines à améliorer et des recommandations.
Notre 'business burnout prevention package' comprend un prix préferentiel sur le empreinte de stress avec des questions supplémentaires qui touchent aux structure de l'entreprise, les ressources etc. Ainsi, vous aurez donné chaque employé un instrument pour réduire les effets négatifs du stress, y compris le burnout. L'éntreprise elle-même reçoit un bilan avec des statistiques descriptives ainsi que des conseils sur où et comment améliorer pour réduire au burnout. Veuillez cependant noter que l'on ne peut pas compromettre l'anonymat des employés.
L'anonymat des utilisateurs finales sont notre priorité. Les données appartiennent aux employés et le rapport que l'on donne à l'entreprise ne va pas admettre à identifier des individus.
